Le silence pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, rien que géné par le tic-tac irrégulier des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait doucement entre les étagères recouvertes de poussière, optant pour chaque cadran, chaque engrenage figé ou en mouvement. Ici, les siècles ne suivait plus une seule navigation. Il se fragmentait, https://martinpeova.activosblog.com/32802863/l-heure-qui-il-n-y-a-pas