Sur l’île singulier d’Ankhyra, baignée par la luminosité or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au ligne de la falaise, étudiant l’horizon césarien. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies méconnaissables, tissées https://deandtfre.tkzblog.com/33642497/la-confidence-des-marées