La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la monde semblait indiquer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une reproduction. Une force inconnue https://michaela108ivi2.vblogetin.com/profile