Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, empruntant la voie de les formules de l'ancien temps avec méfiance. Les flacons comportant les accords tristes étaient minitieusement étiquetés et https://louiscmwel.dgbloggers.com/34661491/le-parfum-de-le-futur